jeudi 22 décembre 2011

Amusons-nous avec Google Search !



En cette période de noël, j'ai récemment lu un article dans lequel il était question de taper « let it snow » sur Google Search. Le résultat est plutôt sympathique et j’ai donc trouvé d’autres termes de recherche qui déclenchent eux aussi des phénomènes sur Google ! Petit tour sans oublier que les guillemets ne comptent pas…

- « askew » et « tilt » nous donnent un résultat assez bancal…

- « do a barrel roll » et « Z or R twice » vont vous faire tourner la tête…

- « Hanukkah » nous offre une jolie décoration…

D’autres termes et expressions à chercher en utilisant l’option « J’ai de la chance » donnent aussi des résultats très amusants !
- « Google Gravity » nous donne un résultat plutôt fracassant!

- « Find Chuck Norris » est tellement vrai.

-  « Google Epic » est plutôt imposant  (après l’avoir tapé, regardez tout bas  "Check out my little brother, Weenie Google")

- « Google Pig Latin » nous fait perdre notre latin…

- « Who is the cutest person in the world?  » Nous donne un résultat VRAIMENT sympa.

- « Google Pink: » effectivement, il faut aimer le rose! (Choisissez d’autres couleurs après)

- « elgooG » : la lecture devient difficile….

- « Google Loco » est effectivement fou!
  
Et bien d’autres…« Google 133t » , « Ewmew Fudd », « Google Gangster », « Google Bork », « xx-Klingon », « Funny Google », « Google Sphere » ou encore « Google Pirate ».

Bref, quand on veut s’amuser, Google est là! Bonnes fêtes!




dimanche 18 décembre 2011

Chaîne YouTube: Quelques Meilleures Pratiques



Etant donné qu’il est un peu tard pour faire la liste de noël et que je voulais vraiment faire une liste :), je me suis dit qu’il serait intéressant de faire celle des choses à vérifier concernant une chaîne YouTube.
Pour optimiser une chaîne YouTube ainsi que ses vidéos rien de tel que d’appliquer les principes du SEO que l’on connaît et de les adapter à ce media. Petit tour de certaines meilleures pratiques…

- Ajoutez une description à la chaîne en expliquant la mission de l’entreprise : Le but principal des utilisateurs de YouTube étant de regarder des vidéos et non pas de lire, faites un résumé des missions, des buts et c’est tout. Ne pas oublier d’utiliser des mots-clés bien sûr, en évitant le "bourrage de mots-clés".

- Choisissez et ajoutez des tags pertinents aux vidéos : le VSEO est devenu incontournable. YouTube search utilise de nombreux critères pour déterminer le placement d’une vidéo : nom, titre et autres metadata. Plus on donne d’informations, plus elle sera facilement trouvable (la vidéo).

- Ajoutez un titre descriptif et du contenu aux videos : la recherche pour les utilisateurs sera d’autant plus facile si l’on inclut un titre descriptif et pertinent à la vidéo. Un titre accrocheur peut aider la vidéo à sortir du lot. Un contenu descriptif et unique est aussi un important facteur. Ajoutez l’URL de votre site.

- Obtenez des suscribers en vous abonnant à d’autres chaînes en relation avec votre industrie, votre domaine. Cela augmente la visibilité de votre chaîne.

- Autorisez les utilisateurs à commenter vos vidéos : cela montre que vous êtes ouverts à écouter ce que les gens pensent de vous, de vos vidéos. Il faut être prêt à répondre aux commentaires, qu’ils soient négatifs ou positifs.
Gardez un contenu régulièrement renouvelé ce qui garde vos viewers engagés.

- Surveillez vos statistiques : YouTube propose des outils et des chiffres pour vos vidéos, notamment le nouveau YouTube Analytics qui remplace Insight depuis peu. Cela permet d’avoir une bonne idée de ce que vos abonnés et autres visiteurs font sur votre chaîne, les types de vidéos qui marchent le mieux.

Sans oublier : devenez amis avec les gens qui commentent, envoyez des invitations, remerciez les abonnés avec un message. Ces quelques "règles" à suivre permettent d'optimiser au mieux votre présence sur YouTube, chose non-négligeable dans le cadre d'une stratégie sur les médias sociaux.

samedi 26 novembre 2011

DoulbleClick For Publishers: Explications en vidéo

Pour ceux qui se demandent ce qu'est exactement DoubleClick for Publishers, une vidéo (en anglais) publiée par Google qui est très claire je trouve!


Initialement publiée sur: Adsense.Blogspot.com

lundi 14 novembre 2011

10 Meilleures Pratiques pour un site Mobile-Friendly


Le mobile: c’est le présent, c’est le futur, il est partout, tout le temps. Comme j’en parlais dans l’article précédent sur GoMo de Google, avoir un site mobile-friendly est désormais quasi-obligatoire si l’on tient compte du fait que les gens accèdent à internet de plus en plus via leur téléphone portable (Smartphone?).
Revue des 10 meilleures pratiques pour un site mobile-friendly selon Google (HowToGoMo.com).

Avant toute chose, un site mobile est une version d’un site conçue pour un appareil mobile, comme un téléphone portable, une tablette type iPad ou encore l’iTouch. L’ergonomie et les fonctionnalités de ces sites vont être adaptées à la taille de l’écran et au fait qu’il soit tactile d’où les différences avec les sites «classiques».

1° Rapidité
Le contenu du site devra être mis au premier plan, c’est-à-dire en haut du site en donnant la priorité au contenu et aux caractéristiques dont les utilisateurs ont le plus besoin. N’hésitez pas à regarder l’Analytics du site web original pour voir ce que les utilisateurs mobile font. Réduisez les blocs de texte à quelques points pour une lecture facilitée. Compressez les images pour les garder petites et rapides à charger.

2° Navigation simplifiée
Une navigation claires et une recherche facile aideront les visiteurs à trouver ce qu’ils cherchent. Minimisez le besoin de dérouler la page et garder cela vertical seulement. Utilisez une hiérarchie claire dans les menus. Affichez des boutons « retour » et « home » clair pour aider les utilisateurs à naviguer. Utilisez 7 liens ou moins par page de navigation.

3° Adaptation au tactile
Les gens utilisent désormais leurs doigts pour naviguer sur leur téléphone (pouces et index). Dessinez le site de manière à ce que des mains larges puissent facilement interagir avec. Utilisez de gros boutons centrés et leur donner un espace autour afin de réduire les clics accidentels. Pour les check boxes, rendez le texte associé cliquable.

4° Design associé à visibilité
Rendez facile la lecture du site pour les clients et rappelez-vous qu’ils peuvent se trouver dans un endroit avec peu de lumière. Créez un contraste entre le fond et le texte. Assurez-vous que le contenu rentre dans l’écran et peut être lu sans avoir à zoomer. Utilisez la taille et la couleur afin d’indiquer la priorité d’un lien ou d’un bouton. Utilisez des effets 3D et de l’ombre pour les boutons.

5° Accessibilité
Dans l’idéal, le site mobile devrait fonctionner sur tous les appareils mobiles et dans toutes les orientations possibles (écran à la verticale ou à l’horizontale). Trouvez des alternatives à Flash car il ne fonctionne pas partout. Utilisez HTML5 pour l’interactivité et l’animation. Gardez les utilisateurs au même endroit lorsqu’ils changent simplement d’orientation de l’écran.

6° Facilité de conversion
Peu importe l’objectif du site, les clients doivent être capables de le faire avec leur clavier virtuel et sans souris. Facilitez l’achat d’un produit ou le contact avec vous ! Concentrez-vous sur l’information qui aidera à la conversion (les détails d’un produit par exemple). Réduisez le nombre d’étapes nécessaires à la complétion d’une transaction. Gardez des formulaires courts avec peu de champs. Utilisez la fonctionnalité click-to-call pour tous les numéros de téléphone.

7° Information locale, de proximité
Les consommateurs cherchent tout le temps des informations locales sur leur téléphone – que ce soit pour localiser la station la plus proche ou trouver une pizzéria ouverte. Aidez les gens à vous trouver et venir à vous. Ayez votre adresse ou un localisateur de magasin sur la page d’arrivée. Incluez des cartes et directions. Utilisez le GPS lorsque c’est possible. Permettez aux utilisateurs de vérifier le stock dans les magasins proches.

8° Homogénéité
Les gens utilisent plusieurs types d’écrans tout au long de la journée. Proposez autant de fonctionnalités de votre site original sur votre site mobile afin de créer une expérience homogène. Maintenez les caractéristiques clés de votre site à travers de tous les canaux autant que possible. Proposez la même information sur les produits ou services. Permettez aux utilisateurs de sauvegarder les recherches fréquentes.

9° Utilisation de redirections vers le site mobile
Une redirection est un code que peut dire automatiquement si le visiteur utilise un appareil mobile et peut le rediriger alors vers la version mobile-friendly du site. Donnez le choix aux utilisateurs de revenir à la version originale mais rendez facile le retour au site mobile. Laissez les utilisateurs choisir quelle version ils préfèrent voir pour leurs prochaines visites.

10° Ecoute, apprentissage et itération
Les bons sites mobiles sont centrés sur l’utilisateur ce qui signifie qu’ils sont construits avec les apports de votre public. Demandez aux utilisateurs de votre site original ce qu’ils attendent d’un site mobile, faites des tests et des optimisations de manière continue. Utilisez Analytics pour connaître la façon dont les gens utilisent votre site. Si possible, faites des tests utilisateurs avant l’implémentation et écoutez les retours des utilisateurs après le lancement.

Pour finir je dirai que le SEO et ses bonnes pratiques telles qu’on les connait pour les sites web sont aussi valables pour les sites mobiles de manière générale. Par exemple, éviter de mettre des liens en Javascript, éviter d’utiliser des frames, utiliser des balises Hn, insérer des mots-clés (dans ce cas limités à 1 ou 2 seulement car sur mobile, les utilisateurs tapent peu de mots pour leurs recherches). Il ne reste plus qu'à se lancer: Go Mobile Now!

dimanche 6 novembre 2011

Google lance GoMo!


La révolution Mobile est en marche depuis quelque temps maintenant et les entreprises ne doivent pas tarder à s'adapter à un nouveau mode de recherche de produits et services de la part des consommateurs. D’après les chiffres donnés par Google, les recherches sur mobile ont été multipliées par 4 depuis 2010 et en 2013 plus de personnes utiliseront leur mobile plutôt que leur ordinateur pour accéder au web!

Désormais, vous avez un site web, c’est bien. Vous avez aussi un site mobile-friendly, c’est mieux ! C’est pourquoi Google a récemment lancé GoMo permettant aux entreprises de créer des sites web mobile-friendly et surtout de s'informer.

Je tiens à présenter le GoMoMeter que l'on trouve sur le site: On peut tester notre site web afin de voir s’il est mobile-friendly grâce cet outil : il nous montre la façon dont apparaît notre site sur un Smartphone puis propose des recommandations. Pendant le chargement de votre URL, vous pourrez voir appraître des statistiques et chiffres sur le mobile (sympa !). Ensuite, vous devez choisir une catégorie pour votre site et répondre à des questions par rapport à l’apparence de votre site sur un Smartphone (que vous voyez en même temps).
Les résultats arrivent ! Temps de chargement, présentation des images et du texte ainsi que navigation.


Plus bas, la possibilité vous est donnée de télécharger un rapport complet :
- Comment les utilisateurs Mobile voient votre site
- Des astuces pour la catégorie dans laquelle votre business se trouve et des astuces personnalisées
- Les prochaines étapes.

On peut alors se rendre ensuite dans « Build your site » pour commencer à construire notre site mobile-friendly…Et là, je m’attendais à avoir des outils ou je ne sais pas…Finalement, Google nous donne une liste d’entreprises spécialisées dans le mobile. Sur le côté, vous pouvez filtrer selon le type de service, le coût annuel et le temps de réalisation souhaité.

Une petite vidéo qui explique Go Mo :)


C’est une initiative intéressante et le site nous offre finalement une bonne quantité d’informations utiles, surtout quand on est novice et qu’on veut se lancer dans la construction d’un site mobile-friendly. Les meilleures pratiques mobile me semblent vraiment importantes et pertinentes, elles mériteront donc un article qui leur est consacré :)

dimanche 30 octobre 2011

Blocage de sites web par les utilisateurs: Fonctionnalité Google


En faisant des recherches sur Google, je suis tombée sur la nouvelle fonctionnalité permettant de bloquer intégralement un site dans les résultats et de manière permanente. La seule condition est d’être connecté via son compte Google pour pouvoir le faire.
J’ai donc fait une recherche random pour tester cette fonction qui est certes intéressante mais dont l’utilité me semble minimale pour les utilisateurs. Sa conséquence majeure concerne surtout le côté SEO des sites, ce que l'on va voir plus bas.

D’abord, pour avoir cette fameuse option « Bloquer tous les résultats de « tel site », il faut s’être rendu sur celui-ci en cliquant dessus puis revenir sur la page des résultats et voir apparaître la phrase. Si l’on choisit d’ouvrir le site qui se trouve dans les résultats de recherche via un nouvel onglet ou une nouvelle fenêtre et que l’on revient ensuite sur la page de résultats, l’option n’apparaîtra pas par contre.
Il y a aussi la possibilité de bloquer manuellement un site en donnant un motif de manière facultative sur la page de gestion des sites bloqués que l’on va voir plus loin.
Je rappelle que j’ai vraiment pris un exemple de manière totalement aléatoire en tapant le mot école.

1 Je viens de me rendre sur le site de Polytechnique et je suis revenue à mes résultats de recherche.


2 L’animation de disparition est plutôt sympathique après avoir décidé de bloquer le site :)


 3 Le site a donc bien disparu de mes résultats de recherche et Google m’offre alors la possibilité de gérer mes sites afin de mettre un terme à tout moment au blocage d’un site.


4 C’est ici que ça devient intéressant car en allant sur la page de gestion des sites bloqués, Google nous donne une information capitale (pour le SEO) :
Les blocages que vous configurez s'appliquent uniquement à vos recherches, mais Google peut utiliser les informations de blocage de l'ensemble des utilisateurs pour améliorer le classement global des résultats de recherche.


Google prendrait alors en compte le blocage répété de certains sites comme critère de classement?
Sachant que les utilisateurs ne vont pas plus loin que la 1ère page de résultats dans la majorité des cas, cela voudrait dire que les sites –logiquement- pertinents qui réussissent à apparaître dans les premiers résultats seraient les premiers à pouvoir être éliminés ! Ils ont donc beaucoup plus de risque d’être jugés « inutiles » par des utilisateurs, d’être bloqués et d’être rétrogradés…Si l’on va encore plus loin et dans la théorie de la « conspiration », si un nombre non-négligeable d’utilisateurs se donne pour mot de bloquer un site de cette façon, qu’adviendra-t-il de celui-ci ? 

Je ne sais pas l’importance qu'accorde Google à ce blocage mais il est clair que cela donne un pouvoir plus grand aux utilisateurs qui deviennent encore plus juges de la pertinence du contenu d’un site par rapport à leurs recherches, cette fonction s’ajoutant aux +1 de Google.

vendredi 28 octobre 2011

Retour sur les 11 Lois de la Création d'une e-marque


J’ai récemment pris connaissance des « 11 lois de la création de la e-marque» proposées par Al & Laura Ries et j’ai trouvé intéressant de les exposer en détail et surtout, voir ce qu’il en est aujourd’hui de leurs affirmations, 10 ans après (le livre date de début des années 2000).
Il faut préciser qu’on ne parle pas ici de la venue sur internet d’une marque déjà existante offline mais bien d’une marque entièrement créée sur internet.

1 Internet peut être un business ou un media de communication mais pas les deux

2 Sans interactivité, votre site web et votre marque n’iront nulle part 

Si chaque media possède sa valeur ajoutée, celle d’internet est bien l’interactivité. Il faut donc exploiter cette valeur pour faire bon usage de ce media. Ce n’est pas seulement répondre à une demande d’un utilisateur, c’est leur apporter un plus, des informations additionnelles et leur permettre avant tout de se sentir impliqué. C’est d’autant plus vrai aujourd’hui : l’interactivité, la communication bidirectionnelle entre les marques et les utilisateurs sont clés.

3 Le Baiser de la mort pour une marque d’Internet est le nom banal 

Aux débuts d’Internet, quand il y avait un nombre limité de sites web, avoir un nom “commun” comme chaussures.com passait bien et était même un avantage. Certains vont essayer d’associer un nom commun à une qualité, un avantage compétitif comme livresdiscount.com.  Dans le monde réel, ça marche lorsque l’on voit une enseigne mais sur internet, c’est autre chose…Se rappeler de ce nom est difficile. Et finalement, on va se souvenir d’un nom plus original, qui est positionné et différencié: amazone.com par exemple.

4 Votre nom n’est que sur internet donc, il convient d’avoir un bon nom

Cette 4ème loi rejoint la 3ème en apportant plus de précision sur le nom :
Il doit être court, unique, prononçable entre autres…

5 Il faut éviter à tout prix d’être le second de votre catégorie 

Ou bien oui, mais quand le marché aura une place pour les seconds…Au pire, créez donc une nouvelle catégorie dans laquelle vous pourrez être premier.

6 La publicité en dehors du web sera supérieure à la publicité sur le web

A l’époque du libre (2001), il est dit que la publicité de fonctionne pas bien sur internet, que les gens achètent des logiciels pour les débarrasser de la publicité et n’en veulent pas. Sur ce point, je ne suis pas vraiment d’accord étant donné l’évolution qu’à connu le marketing online et où on en est actuellement : en plein boom : Adwords, affiliation, pop-Up, pop-Under et j’en passe. Bien sûr, il existe de plus en plus de campagnes mix offline-online, les gens n’aiment pas forcément les pubs mais il faut avouer qu’elles sont plus ciblées désormais et correspondent mieux à ce qu’ils cherchent donc sont plus utiles.

7 Internet fera tomber toutes les barrières, les limites et les frontières

Hum. Sur ce point, avec 10 ans d’avance, on ne peut qu’être d’accord ! Le monde entier est désormais lié, nous sommes à quelques clics de n’importe quelle personne, n’importe quelle marque.
 8 Lancez-vous. Il faut être rapide. Etre le premier. Centrer l’attention. 

Historiquement, les découvertes ont été faites à une même époque par plusieurs personnes. Il faut se lancer avec une idée nouvelle, il faut choisir une bonne stratégie et le bon moment.

9 La plus grande erreur qui peut être commise est de croire qu’un seul est capable tout faire
La diversification. Une marque aura une image qui lui colle à la peau selon les produits qu’elle offre. Que se passe-t-il si elle décide de partir dans une autre direction et se diversifier ? On s’y perd…

10 Tout le monde parle de convergence quand ce qui arrive est précisément le contraire

Une entreprise va contre les lois de la nature quand elle tente de créer une marque sur internet en se basant sur le concept de convergence.

11 La révolution sur Internet transformera tous les aspects de nos vies

Progressivement, les catalogues disparaîtront, les guides papiers, le courrier conventionnel, les petites annonces, les services financiers passeront sur le web etc. Cette révolution dont parlent les Ries semblent un peu extrême au vu de la situation actuelle, c’est-à-dire 10 ans après. Toute publicité papier n’a pas disparue : nos boîtes aux lettres en témoignent, on ne vit pas 24h/24 connectés (sauf exceptionnels addicts du web ;))… Mais il faut bien avouer que notre vie virtuelle prend une place de plus en plus importante par rapport à la vie réelle finalement. On en arrive aujourd’hui à vouloir trouver le bon équilibre entre offline et online, équilibre qui apportera la meilleure satisfaction possible de besoins de la société et des personnes.

 
Pour conclure, je dirai qu’avec l’évolution du web en 10 ans, ces lois auraient pu être totalement obsolètes mais on y retrouve finalement des points qui se vérifient aujourd’hui. Rendez-vous en 2021 pour voir ce qui aura changé !


jeudi 6 octobre 2011

Bleu ! Vert ! Non...Rouge ! Quelles couleurs pour quel site web ?


Lorsque l’on crée un site internet, il va de soi que le design a quand même une importance considérable et doit faire l’objet d’une réflexion. On a beau aimé certaines couleurs, tout n’est pas qu’une question de goût du designer, il y aussi toute une signification des couleurs et surtout, chacune d’elle peut avoir un impact différent sur le comportement que va adopter un visiteur (ce sont leurs fameux pouvoirs sur les émotions, le ressentiment...).

D'abord, il faut savoir qu’il existe la palette web-safe qui permet d'afficher les 216 couleurs normalisées par l'International Color Consortium pour le web afin de savoir quelles couleurs peuvent être utilisées et rendront parfaitement sur un site web.
Dans les logiciels comme Photoshop, il y a d’ailleurs possibilité de choisir l’option : couleurs web, comme ça, pas de surprise avec le navigateur, on sait que ce sera les couleurs choisies.

Alors on trouve à peu près de tout en matière d’explications et de définitions sur les couleurs donc je vais simplement m’attarder sur les couleurs qui me semblent principales avec une brève description de leur signification (d'après ce que j'ai pu lire ici et là) et de manière très générale, leur utilisation pour différents types de sites.

-Jaune : Optimiste et jeune -> utilisé pour attirer l’attention. Sites valorisant le dynamisme ou culinaires.

-Orange : Agressif -> utilisé pour les call-to-action et pour attirer l’attention.

-Rose : Romantique, sociabilité et féminin -> utilisé pour mettre en valeur les produits et services pour femmes et jeunes filles. Sites féminins, enfantins.

-Rouge : Energie, joie, vitalité sentiment d’urgence -> utilisé dans les ventes « liquidations » et la nourriture. Par petites touches dans les sites, pour attirer l’attention.

-Bleu : Sensation de confiance, sécurité, rigueur, science, travail intellectuel -> utilisé pour des sites technologiques, informatiques, banques, business (sites aquatiques :))

-Vert : Santé et nature -> utilisé dans la finance ou le divertissement. Sites de nature, loisirs.
-Noir : Puissant et élégant -> utilisé pour des sites évoquant le luxe ou encore l’art.

-Violet : Apaisement, respect  et calme -> Utilisé pour des produits de beauté. Met en valeur d’autres couleurs dans les sites.

-Blanc : Pureté, propreté, espace -> Utilisé pour mettre en valeur d’autres couleurs avec simplicité.

Ci-dessous, les couleurs des 100 plus grandes marques du web (image tirée d’une excellente infographie sur Colourlovers.com) pour avoir une petite idée des couleurs selon le type de site web :


La couleur bleue et les tons orangés semblent particulièrement de mode cet an-ci en tout cas :).
Le choix des couleurs n’est donc pas à prendre à la légère et il ne faut surtout pas hésiter à faire des tests (encore et toujours) en utilisant Google Website Optimizer par exemple (que j’ai déjà évoqué dans l’article sur les Pages d’atterrissage) qui est un outil gratuit pour faire des tests A/B et Multi-variables, idéal pour tester les couleurs et leur impact sur les visiteurs!


jeudi 29 septembre 2011

Pages d’atterrissage : Meilleures pratiques


En marketing online, on entend souvent qu’il faut donner de l’importance aux moyens employés pour faire de la publicité en ligne comme les annonces (textes, images) que l’on crée pour attirer les internautes vers notre site web afin qu’ils y effectuent l’action que l’on souhaite.

Il existe donc une préoccupation majeure dont il faut tenir compte : la fameuse page d’atterrissage. Son utilité ? Humm immense ! Informer, présenter, clarifier, donner confiance et surtout : satisfaire les attentes de l’internaute avec une pertinence sans faille. Il doit trouver ce qu’il veut, là, maintenant, devant ses yeux.

De manière plus particulière, dans le domaine des annonces Google Adwords, il est question de la pertinence de la page d’atterrissage avec l’annonce qui dirige vers celle-ci mais cette page en elle-même se doit aussi d’être optimisée car tout cela est pris en compte dans le système de classement des annonces.

Alors quels sont les secrets d’une page d'atterrissage efficace ? 

Google nous fournit des indications (Centre d’Aide Google Adwords):

- s'assurer que l'internaute trouvera sur cette page le produit ou service faisant l'objet de l'annonce
- vérifier que la page de destination sélectionnée fournit des informations correspondant aux mots clés que recherchent les internautes
- proposer un contenu pertinent, c'est-à-dire qui est en rapport avec l'annonce ou le lien sur lequel l'internaute a cliqué
- se rappeler que lorsque l'internaute est submergé par le nombre de choix, moins le contenu est important, plus il est efficace
- partager ouvertement des informations sur l'entreprise, la présenter et indiquer clairement ce qu'elle fait
- regarder attentivement le plan du site ou la barre de navigation, et s'assurer que les internautes peuvent trouver ce qu'ils recherchent en trois clics maximum.

Et puis, une excellente infographie nous éclaire aussi (The Anatomy of a Perfect Landing Page), en voici les principaux points:

-un titre accrocheur et en rapport avec les annonces
-des sous-titres concis et en relation directe avec le contenu du site, notre offre
-une grammaire impeccable
-des « indicateurs de confiance » : témoignages, mentions de presses et certification de sécurité
-des boutons et Call-To-Action VISIBLES et clairs : il est crucial que l’internaute sache ce qu’il doit faire par la suite
-de la simplicité : peu voire pas de liens connectant à d’autres sites ou pages, on veut garder l’internaute !
-des images et vidéos : On peut vite avoir une overdose de texte, voir l’image d’un produit par exemple est toujours intéressant.
-un contenu toujours au-dessus de la ligne de flottaison (ce que voit l’internaute sans scroller)

Pour finir, l’outil idéal dans la recherche d’optimisation et l’amélioration d’une page d’atterrissage reste pour moi, sans conteste, Google Website Optimizer qui offre la possibilité de tester différentes pages (test A/B) ou, de manière légèrement plus avancée, tester différentes parties de page pour arriver à tirer des conclusions sur la combinaison qui sera la plus efficace.

Désormais, les pages d’atterrissage n’ont plus aucun secret pour vous...votre taux de rebond? Minime bien sûr! ;)


lundi 19 septembre 2011

Changements Facebook : Des gagnants dans cette course? [opinion]



De nos jours, tout le monde écrit des articles sur Google +, la bataille entre Google+ et Facebook, les nouveautés que chacun apporte pour offrir un meilleur service que les autres. Récemment, je suis tombée sur un groupe Facebook nommé : « On déteste les nouveaux changements Facebook !». Je me suis alors demandée, en tant qu’utilisatrice lambda de Facebook: dans cette course à l’innovation, sommes-nous gagnants, nous, utilisateurs ?

Je suis sur Facebook depuis 2008, j’ai donc assisté à nombre de modifications pour finalement en arriver à ce qu’il est aujourd’hui. Alors non, je ne vais pas critiquer Facebook en lui-même car j’en suis fan. Faisant partie des addicts, je ne l’abandonnerai pour rien au monde mais je pense simplement que trop d’innovation tue l’innovation.

Personnellement, je trouve que les sorties hebdomadaires de nouveautés Facebook commencent à être trop nombreuses. Je dois faire partie d’un groupe de cobayes parce que mon interface Facebook a changé 5 fois en l’espace de 2 semaines. D’abord une nouvelle colonne de newsfeed à droite apparait puis disparait en l’espace de quelques heures. Ensuite, cette colonne réapparaît de nouveau et cette fois mon News Feed principal se vide et je n’ai plus rien pendant 1 jour : rendez-moi mes news « A la une » et « Plus récentes » ! Le lendemain, tout rentre dans l’ordre. Puis, ce matin, les listes « intelligentes » sont apparues dans le menu gauche de mon Facebook...Vont-elles rester ? A voir dans le prochain épisode (il semble tout de même que ce changement soit officiel, celui-là…

Oui, Facebook doit faire face au grand méchant Google+ mais de là à sortir des nouveautés en paquet, je trouve que ça fait un peu pagaille.

N’est-ce pas la simplicité que l’on doit rechercher pour un site web ? Navigabilité, ergonomie, pratique…On a la vague impression que Facebook a oublié ces notions. Certes les nouvelles options et possibilités sont attrayantes (pour certaines) mais il y a finalement un revers de la médaille à cet accès à toujours plus d’informations : les pages deviennent de plus en plus chargées d’informations, des boutons poussent un peu partout (En passant, bienvenue au nouveau « Subscription »), les colonnes de menu s’allongent encore et encore, les photos ont un nouveau fond blanc (et mettent du temps à passer du flou au net…). Je n’oublie pas non plus la nouvelle version de Chat que l’on a tous depuis quelques mois et qui a eu du mal a passer, un changement purement esthétique finalement qui n’a rien apporté de nouveau.

Je dirais que si 700 millions d’utilisateurs sont venus sur Facebook, c’est qu’il y a une raison et cette inquiétude face à Google + ou d’autres est certes légitime mais ne doit pas pour autant pousser à trop de changement (le changement fait peur, attention). Finalement, les utilisateurs doivent probablement ignorer l’existence d’une bonne partie des nouvelles options offertes par Facebook et c’est ce qui est dommage car certaines (oui, tout n’est pas négatif) sont très utiles, notamment toutes celles concernant la confidentialité. 

mardi 13 septembre 2011

Différence entre le nombre de clics Adwords et le nombre de visites Analytics: Explications.


En observant bon nombre de campagnes Adwords et en faisant des rapports, il y a de grandes chances de se retrouver en face d’un petit problème entre données Analytics et données Adwords.
Ayant été dans ce cas, j’aimerai éclaircir les raisons d’une différence entre le nombre de clics sur Adwords et le nombre de visites sur Analytics.

D’abord, il faut comparer des oranges avec des oranges et des pommes avec des pommes. Les visites et les clics sont des choses différentes. Alors pourquoi les comparer ? Parce que notre logique voudrait que l’on pense qu’un clic mène à une visite et que le nombre de clics sous Adwords devrait correspondre au nombre de visites de source Adwords sur Analytics.

Les clics sont simples à définir : lorsqu’un internaute clique sur l’annonce, un clic est comptabilisé, point.
Les visites : nombre de sessions uniques déclenchées par les visiteurs. Il faut savoir que récemment Google a introduit une nouvelle définition des sessions mais cela influe peu sur nos résultats.
Une session prend désormais fin ainsi :
- Plus de 30 minutes se sont écoulées entre deux pages vues pour un même visiteur
- La journée touche à sa fin
- La source de trafic du visiteur change. Les informations sur la source de trafic étant données par les paramètres suivants: utm_source, utm_medium, utm_term,utm_content_utm_id, utm_campaign et gclid.

Hors il arrive donc qu'il existe de petites différences normales (très souvent) mais on peut aussi faire face à d'importants écarts qui doivent être surveillés de près. Certains considèreront qu'un écart de 20% n'est pas alarmant, il n'y a cependant pas vraiment de moyenne ou de plafond pour évaluer le seuil critique.

Alors voici les raisons probables de cette différence:

Visites Analytics inférieures aux clics Adwords
- Un internaute clique 2 fois sur votre annonce en moins de 30 minutes sans fermer son navigateur => 2 clics mais 1 visite
- Un internaute clique 1 fois sur votre annonce, revient à la page précédente et clique de nouveau sur l’annonce => 2 clics mais 1 visite
- Un internaute clique sur l’annonce mais ferme son navigateur avant que la page du site soit chargée
- L’internaute peut définir ses préférences de navigateur de telle sorte que Google Analytics ne puisse pas enregistrer de données. L’internaute doit activer le langage Javascript, les images et les cookies dans son navigateur pour qu’Analytics marche
- Le code de suivi Analytics est mal implémenté sur les pages du site.

Visites Analytics supérieures aux clics Adwords
- Adwords filtre les clics incorrects, on ne paie pas pour tandis qu’Analytics affiche toutes les visites.

Voila quelques clés pour résoudre le mystère de la différence entre clics et visites. Il y a de fortes probabilités que l’une des raisons soit celle qui s’applique à votre cas.





vendredi 9 septembre 2011

5C clés en Social Media Marketing


Il y a peu, j’ai eu l’occasion d’entendre parler des 4P du Social Marketing que j’ai voulu aborder dans l’article précédent. Et bien, de nouveau, je vais parler de lettres…Ce sont les 5 C que l'on pourrait considérer comme bases en Social Marketing, tout comme les 4Ps du Marketing.


- Contacter : La première phase d’une action en ligne consiste a atteindre et contacter les prospects que nous déteermine comme étant les destinataires de la communication. On peut le faire via plusieurs moyens : Propres bases de données ou d’emails existantes, investiguer sur les réseaux, forums et blogs pour inviter de nouveaux contacts  qui ont des intérêts communs avec ce que l’on offre, inciter nos clients à nous recommander de nouveaux contacts à travers une sorte de bénéfice, inviter des contacts de nos contacts à faire partie de notre base, utiliser des bases de données de tiers. Dans la mesure où l’on offre un service de valeur pour nos clients, eux-mêmes se chargeront de faire passer le message et de nous recommander.

- Converser : C’est à ce point que se trouve un défi : il doit s’agir de capter l’audience pour pouvoir avoir des conversations productives. Le principal objectif doit être de construire des relations à long-terme, la transparence et la sincérité sont fondamentales (je l'avoue, c'est très beau à dire mais en réalité..)
Si l’on suit cette règle, ceux qui nous écoutent s’intéresseront vraisemblablement à nous (on l'espère), à ce que l’on fait et à la façon dont on peut les aider.

- Convertir : C’est l’étape lors de laquelle nos prospects cessent d’appartenir à cette catégorie (prospects) et deviennent clients. Forcément, il est important de tenir les promesses faites et de satisfaire les attentes générées pour que le client sache que sa décision était la bonne et surtout qu'il l'a prise en connaissance de cause.

- Cultiver : Les relations se cultivent! Elles s’alimentent de chaque interaction et évoluent grâce à la confiance que l'on aura gagner auprès des clients. Cette confiance amènera ensuite la possibilité que nos clients achètent de nouveau et pourquoi pas, nous recommandent : ils agissent finalement comme notre propre force de vente et ça gratuitement!

Evidemment, on peut trouver d’autres C (dans cet article par exemple): Collaborer, Commenter, Contribuer mais ce sont là des termes qui, pour moi en tout cas, sont à inclure dans l’ensemble Cultiver.

Pour conclure, il s’agit surtout de se rappeler que dans chacune des interactions, nous serons toujours entrain d’essayer de bâtir la CONFIANCE le dernier, et non des moindres, C.




lundi 5 septembre 2011

Remix des 4P classiques en Social Media Marketing

On a depuis longtemps entendu parler maintes et maintes fois des 4P de base du marketing : Price, Product, Place, Promotion mais ces 4 lettres s’appliquaient et s’appliquent encore au marketing traditionnel. Avec l’arrivée et le développement grandissant du marketing online et en particulier sur les médias sociaux, on se retrouve ainsi avec de nouveaux P…

Dans un rapport de Forrester, il était question de transformer les 4P traditionnels par 4 nouveaux qui seraient davantage adaptés au Social Media Marketing. Je pense qu’il s'agit plutôt de mettre en arrière plan les 4P que l’on connaît (donc toujours en tenir compte) pour laisser la place aux quatre nouveaux qui sont : Permission, Proximité, Perception et Participation.

Je trouve intéressant de voir de plus près ces 4P:

-Permission : Contrairement à la publicité traditionnelle qui travaillait par interruption du contenu qui était consommé par un individu (récepteur passif du message), la promotion via les medias sociaux implique aujourd'hui qu’il faille faire accepter par les individus notre présence pour pouvoir les atteindre dans un 2ème temps.

-Proximité : Le ciblage de la publicité sur le web est de plus en plus pointu, notamment avec l’exemple de Facebook qui nous offre de multiples possibilités selon les informations dont on dispose à propos des utilisateurs. Ce ciblage affiné nous rapproche d’autant plus des individus et permet une adaptation (qui est de toute façon nécessaire) de tous nos messages.

-Perception : Le monde virtuel d’Internet implique l’existence d’une multitude d’individus qui finalement ne sont peut-être pas réels car créés de toute pièce pour une vie online. Nous devons donc nous adapter et nous contenter de ce que les individus veulent bien montrer via leurs profils même si  finalement, nous ne sommes pas sûrs de l’authenticité des informations.

-Participation : Avec la publicité en ligne, nous sommes passés d’un modèle unidirectionnel à un modèle bidirectionnel. Du simple envoi d’un message à un consommateur (émeteur-récepteur), nous nous retrouvons avec un consommateur actif qui sollicite l’information, la partage et choisit entre plusieurs options.

L’interaction est devenue clé : les consommateurs (dont finalement on ne connaît que les « profils ») peuvent interagir avec les marques et leurs messages à travers les médias sociaux, enfin, s’ils le souhaitent. Les marques , les entreprises, doivent finalement s'adapter à cette nouvelle distribution de pouvoir qui s'est développée grâce à internet et aux multitudes de possibilités offertes par les médias sociaux qui sont aux mains de tout le monde finalement!



dimanche 28 août 2011

Nouvelle Colonne de News Facebook

Simplement une question: pourquoi???
J'avais entendu parler de cette nouveauté dans un article de blog et il y a une heure, je me retrouve avec cette nouvelle colonne de news à droite de ma page Facebook:




Je suis désolée mais l'utilité m'en échappe... J'ai déjà ces news devant les yeux sur mon News Feed principal, je sais déjà que lui est ici, qu'elle s'est fait de nouveaux amis, etc.

Ces news sont sensées être les plus importantes? Les plus pertinentes? Les plus récentes? Pour moi, elles ne le sont pas vraiment.
On se retrouve avec un surplus d'informations et surtout, un côté de la page Facebook totalement surchargé par les écritures..Les amis en ligne sont désormais en bas de ma page, dans une colonne toute petite: je ne verrai donc pas les noms de tous ceux en ligne dès que leur nombre dépassera 9 !

Il résulte de cette nouvelle colonne de news une seule chose: une pollution visuelle. Ajoutez à ça un soupçon de publicités Facebook juste à gauche de cette nouvelle colonne et cela devient difficile à lire.
Pour les annonceurs, je trouve que ce changement n'est pas avantageux du tout: les annonces sont beaucoup moins visibles car elles sont encastrées dans cet amas de texte et de photos...

Non, vraiment, je n'adhère pas à cette nouveauté...

jeudi 25 août 2011

Concours Facebook : 5 règles importantes

Tout entreprise, marque créant sa Fan Page Facebook ne le fait pas pour le plaisir d’avoir une jolie page (on l’espère) et c’est tout. Une page sans fans, c’est comme… un repas sans fromage ? un été sans soleil ? Il manque indubitablement quelque chose, quelque chose d’essentiel. Oui, on fait vivre la page avec des publications, des updates de statuts mais si personne n’est là pour entendre ce que l’on a à dire, à quoi bon…

Si le fan ne vient à la page, la page ira au fan ! Il est donc temps d’aller les chercher, par quel moyen ? Celui le plus commun : un concours. Avant de se lancer, quelques règles :

-          Suivre les règles de Facebook d’abord…Utiliser une application de tierce partie car on ne peut pas organiser de concours sur Facebook sauf par ce biais (bon, comme je le disais dans l’article précédent, si on peut éviter au possible les applications qui demandent une autorisation de pomper les infos des utilisateurs, c’est mieux..mais bon.). Les règles se trouvent ici : Facebook Guidelines.

-          Proposer un prix attrayant. La valeur du prix dépendra du nombre de fans ciblés, la taille et le budget que l’on a, etc. Bon, l’argent est effectivement efficace mais quelque chose de lié à l’entreprise, son domaine, ses produits, est toujours plus sympa !

-          Faire simple, on ne va pas aller chercher un méga formulaire à remplir, des questions à n’en plus finir : participer à un concours est souvent une impulsion qui peut vite s’éteindre après quelques minutes alors profitons-en pour aller droit au but et de manière fun tant qu’à faire !

-         Promouvoir le concours grâce à des partenaires sur Facebook ou bien sûr via publicité, promotion partout où l’on peut. Surtout, permettre aux participants de partager le concours avec leurs amis !

-        Faire attention à la durée du concours : ni trop longue, ni trop courte pour avoir assez de temps afin de permettre au plus de gens possible de participer. En générale, la plupart des concours se font sur 2-3 semaines.

Bon, la liste n’est sûrement pas exhaustive mais je considère que ces règles font partie des plus importantes en tout cas, à prendre en compte.

samedi 20 août 2011

Concours Facebook: Soyez gagnant !


Un jour, j'ai lu dans un article: les concours Facebook sont une manière "sauvage" de récuperer des fans en un temps réduit. Certes, c'était dit sur un ton négatif mais quelle vérité! Oui, c'est vrai et soyons honnêtes: les gens sont attirés par le gain facile et les cadeaux, caractéristique de l'être humain sur laquelle on joue depuis bien longtemps...

Donc, oui, totalement pour les concours Facebook mais à condition de respecter, comme pour les Fan Pages, certaines règles et surtout d'éviter les erreurs qui mèneront à une perte de temps et un gain de 10 fans tout au plus!
Peu importe les nombre de gens ciblés par la Fan Page et donc par le concours, on doit tout faire pour les atteindre et les motiver à nous rejoindre.

Cet article a pour origine (comme les articles précédents) le fait que j'ai été invitée à participer à un concours qu'un ami de Facebook a lancé pour un client. Je n'ai donc pas pu m'empêcher d'aller voir, tester et re-tester ce concours pendant un bon moment, voire un très bon moment car j'allais de surprise en surprise. Au bout d'un certain temps, une conclusion s'est imposée: il a manqué une personne spécialisée Facebook pour ce travail (rien de méchant mais c'est dommage je trouve).
Ce concours consiste donc simplement en un remplissage de formulaire avec réponse à une question à choix multiples.

Donc, après avoir fermé les yeux sur les multiples (oui, multiples) fautes d'orthographes présentes dans la tab d'accueil et aussi bien au sein du formulaire du concours (une relecture par 2-3 personnes ne prend pas si longtemps et est vitale pour l'image professionnelle!), je passe aux problèmes plus "techniques".

D'abord, je tiens à souligner un très bon point (car oui, il y en a): ils ont trouvé comment intégrer le bouton "J'aime" cliquable à l'intérieur de la tab créée (Best Practices). De cette manière, plus besoin de mettre une énorme flèche vers le bouton "J'aime" qui se trouve en haut de chaque Fan Page.

Poursuivons... Bien sûr, je clique sur "J'aime" afin d'accéder à la page du fameux concours et y participer. Ah, une sympathique fenêtre me demandant d'autoriser une application à pomper toutes informations s'ouvre et moi, et bien, je n'aime pas ça! Je fais partie des gens qui n'ont jamais autorisé une application...Alors oui, le règlement de Facebook impose d'utiliser une application "tierce-partie" pour les concours mais j'en connais certains qui ont trouvé la manière de contourner ce problème (développer sa propre application? Etre à la limite de la légalité sur Facebook? Je ne sais pas mais il faut trouver quelquechose...).
De ce fait, je refuse l'autorisation et pense alors (comme beaucoup de gens) que je n'ai plus qu'à partir de cette page et ne pas participer (en plus, j'ai envie de "Unliker" cette page parce que je suis frustrée). Bref, je ne suis pas la seule à réagir comme ça et forcément, ça fait quand même une perte potentielle de Fans non-négligeable.

Evidemment, ma curiosité me pousse tout de même à regarder de plus près la page sur laquelle je me retrouve après mon refus d'autorisation. En déroulant la page, que vois-je? Le formulaire et la question que je peux remplir sans problème! Ni une, ni deux, je m'empresse de le faire et attend la suite avec impatience...

Là, je m'attends donc à voir une nouvelle page ainsi qu'une fenêtre qui devrait s'ouvrir et me demander de partager ce concours avec mes amis, avec une image mise automatiquement, un lien et une description (en tout cas, j'ai l'habitude d'avoir fait et vu des concours comme ça). Et bien, j'arrive sur page de remerciement mais surprise, je dois (là encore) dérouler la page pour trouver à la fin, la possibilité de partager le concours. Je clique donc sur le lien et je me retrouve simplement avec une fenêtre de "status update" ne mentionnant en aucun cas le concours, ni image, ni description: je pourrais écrire "Allez-y" que personne ne saurait de quoi je parle!
Niveau viralité...

Ah mais je vois une autre option: en invitant des amis, je peux augmenter mes chances de gagner! Je clique donc sur lien proposé et là encore, une demande d'autorisation pour une application, cette fois de jeu, apparaît. C'est justifiable car pour le décompte des "points" selon les amis invités, il faut un suivi  mais si l'autre option de partage avait été bien optimisée, je pense qu'ils auraient pu se passer de cette application de jeu, que là encore, je ne veux pas autoriser...

Finalement, je vais continuer à surveiller leur nombre de fans car ça m'intéresse assez de voir les résultats...

Je conclurais sur l'importance du testing d'un concours, comme pour une Fan Page Facebook, sous toutes ses coutures avant de lancer quoi que soit live.
Je pense qu'ils ont un support d'annonces sur Facebook vers leur cible pour ce concours (?) enfin, je l'espère, parce que la viralité me semble assez difficile.

Bref, quelques best practices pour les concours Facebook sont à venir dans le prochain article qui leur sera entièrement consacré.


jeudi 18 août 2011

Facebook Fan Pages: Best Practices


Dans l'article précédent (Facebook Fan Pages: Tout un art à maîtriser...), je parlais de certaines erreurs concernant une Facebook Fan Page sur laquelle je suis tombée et j'ai donc décidé de faire un petit tour des meilleures pratiques. C'est parti !

- Promouvoir la Fan Page : Faire de la publicité via les Facebook Ads, sur les emails des employés, sur le site web.

- Rendre attractive la première page que les visiteurs (et futurs fans) voient et y introduire un call-to-action amenant ceux-ci à effectivement cliquer sur "J'aime".

- Construire des onglets de base tels que: Infos, collaborateurs, vidéos YouTube, concours
Mettre à jour fréquemment: Mais pas trop non plus de façon à intéresser les fans qui verront vos messages dans leur news feed. Etre actif reflète l'activité de l'entreprise mais attention à ne pas en faire trop.

- Utiliser la partie "intérêts" en aimant d'autres pages, que ce soit des partenaires, des filiales ou encore des entreprises de la même industries: les personnes suivant ces pages ont de grandes chances d'être intéressées par la vôtre...

- Faire une bannière de photos sympa et recherchée.

- Optimiser les photos des albums avec des descriptions et des titres pertinents.

- Filtrer les messages selon la langue de façon à ce que les fans ne voient qu'une fois le message et dans leur langue.

- Essayer de répondre à un maximum de questions et de commentaires et ce, en surveillant chaque jour les publications sur la page.

- Eviter la censure: supprimer des commentaires peut amener des réactions encore plus négatives que ne l'était le commentaire au départ.

- Célébrer des paliers dans le nombre de Fans atteint, cela peut être important pour vous mais aussi pour eux.

- Un peu d'humour ne fait de mal à personne (!)

- Ah et dernière petite chose un peu technique: insérer le bouton "J'aime" dans la page d'accueil que vous avez créée et faire en sorte qu'il soit cliquable...De cette façon, mettre une énorme flèche pointant vers le bouton "J'aime" en disant "allez cliquer ici" n'est plus nécessaire...

Bon, il en manque peut être certaines (de bonnes pratiques) mais dans l'ensemble, en suivant ces règles un minimum, il est possible d'avoir une page sympa, active et attractive!


Les Facebook Fan Pages: Tout un art à maîtriser...


Les Facebook Fan Pages poussent comme des champignons ces derniers temps. C'est en voyant une page fan facebook récemment créée et en la testant que l'idée m'est venue de parler un peu des bonnes pratiques car vraisemblablement, la page en question n'avait pas été faite par un spécialiste Facebook. Certaines pratiques de base sont à respecter avant de lancer live toute Fan Page dans la jungle qu'est Facebook. Soyons réalistes, les plus faibles ne survivront pas...

Bon, il faut bien commencer par quelque chose alors tiens, ce que je vois en premier sur la page, la bannière de photos. Oui, on en parle depuis pas mal de temps maintenant de cette fameuse bannière utilisable à des fins marketing par les marques sur Facebook. Certains décident donc de mettre une rangée de photos random, sans ordre et qui franchement, ne servent en rien la marque... Un peu d'inventivité tout de même! De la continuité dans les photos, de l'originalité dans l'ensemble qu'elles vont former.

Passons au problème de langues. Car oui, souvent, la marque aura des cibles parlant plusieurs langues différentes et son intérêt est bien sûr de s'exprimer et passer ses messages dans une langue que les fans comprennent. Alors, la page que j'avais devant moi me parlais en français et puis en allemand. C'est une chose d'avoir un mur rempli de publications en deux langues différentes, s'en est encore une autre de polluer mon news feed avec des messages dupliqués et dans une langue que je ne parle pas, aller je masque les publications et puis c'est tout (et -1 dans le nombre de personnes atteintes par le message). Un petit truc tout simple, vraiment: on peut, lorsque l'on publie sur notre Fan Page, mettre un filtre linguistique qui permettra aux français de voir les messages en français seulement et de même pour les allemands.

La photo de profil, on ne peut qu'en mettre une seule, alors avec du texte en français ou en allemand? Et bien, je dirais que le plus simple est encore de ne pas mettre de texte, simplement une image! A la rigueur, tout de même, si le slogan de la marque est toujours dans la même langue, le laisser car il fait partie de l'identité de la marque.

Je pourrais faire une liste comme il en existe tant d'autres sur les best practices à respecter niveau publications, photos et en définitive SEO Facebook mais est-ce qu'on veut vraiment relire ce qu'on connaît déjà? Bon, pour le plaisir un florilège des best practices en matière de Facebook Fan Pages dans l'article qui suit...